Un phénomène sans précédent lié au changement climatique a été les eaux des fermes submergées du lac Baringo. Les petits agriculteurs horticoles autour du lac Baringo comptent les pertes après que leurs fermes ont été submergées par l’eau qui épelle une catastrophe pour le comté de Baringo déjà en insécurité alimentaire.
L’agriculture étant une fonction déconcentrée, KeFAAS en partenariat avec le ministère de l’agriculture et d’autres acteurs du secteur mettent en œuvre des mesures appropriées et des technologies adaptatives qui réduisent la vulnérabilité et le changement climatique à plus long terme.
Le groupe de femmes Kajiado profite largement de la pratique de l’agriculture axée sur la technologie intelligente face au climat.
Dans le but de promouvoir l’agriculture axée sur la technologie intelligente face au climat (CSA), le Forum de services de vulgarisation et de conseil agricoles du Kenya (KeFAAS), par le biais de ses membres, s’est efforcé de fournir les connaissances techniques, les compétences de gestion et les services d’information dont les petits agriculteurs ont besoin pour améliorer leurs moyens de subsistance dans les conditions climatiques mondiales en evolution rapide. L’approche est considérée comme une solution pour aider à transformer les systèmes agricoles afin de promouvoir la sécurité alimentaire dans la nouvelle réalité du changement climatique. C’est une approche qui combine des pratiques, des technologies, des services, des processus et des arrangements institutionnels qui augmentent durablement la productivité, soutiennent l’adaptation et la résilience des agriculteurs au changement climatique et, si possible, réduisent les émissions de gaz à effet de serre.
Le changement climatique constitue une menace pour les moyens de subsistance durables de millions de personnes dans le monde, y compris au Kenya. Les efforts du changement climatique sont largement ressentis par la population pauvre qui dépend solennellement de l’agriculture comme source de subsistance.
Les petits exploitants agricoles jouent un rôle central dans la réalisation de la sécurité alimentaire s’ils sont soutenus et guidés en conséquence. Les petits exploitants agricoles ont un accès limité aux connaissances et aux informations appropriées et continuent donc à pratiquer l’agriculture comme une activité traditionnelle, adoptant rarement les nouvelles technologies et innovations. Avec le ratio des agent de vulgarisation par agriculteur qui continue de diminuer après la décentralisation du secteur, la circulation de l’information continue aussi d’être un défi.
Dans un contexte de conditions météorologiques extrêmes qui ravagent le monde entier, les chercheurs préviennent que les précipitations de plus en plus irrégulières liées au changement climatique constitueront une menace majeure pour la sécurité alimentaire et la croissance économique, en particulier en Afrique, nécessitant un investissement accru dans les interventions d’atténuation. Ajoutez cela à notre approche fataliste établie de l’approvisionnement en intrants et il ne sera pas difficile de voir pourquoi ce phénomène perturbera la préparation des agriculteurs cette année.
Au Kenya, il est maintenant évident que si des efforts concertés ne sont pas déployés pour réduire l’incertitude paralysante dans l’agriculture pluviale par l’irrigation, de nombreux agriculteurs seront dans un proche avenir confrontés à une bataille perdue avec un climat plus hostile et imprévisible. À long terme, le changement climatique pourrait affecter l’agriculture, entraînant une baisse de la productivité des cultures, en termes de quantité et de qualité des cultures, la faim et la pauvreté, entre autres impacts négatifs.
En tant que pays en développement, nous sommes vulnérables au changement climatique car nous dépendons fortement de l’agriculture, avons tendance à être déjà relativement chauds, manquent d’infrastructures pour bien réagir à une variabilité accrue et manquent de capitaux pour investir dans des adaptations innovantes. Nous sommes confrontés au plus dur des dilemmes de devoir produire plus efficacement de la nourriture, dans des conditions de production plus volatiles et devons réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre de la production alimentaire à la commercialisation.
Déjà, un phénomène sans précédent lié au changement climatique a été les eaux des fermes submergées du lac Baringo. Les petits agriculteurs horticoles autour du lac Baringo comptent les pertes après que leurs fermes ont été submergées par l’eau qui épelle le catastrophe pour le comté de Baringo déjà en insécurité alimentaire.
L’agriculture étant une fonction déconcentrée, KeFAAS en partenariat avec le ministère de l’agriculture et d’autres acteurs du secteur mettent en œuvre des mesures appropriées et des technologies adaptatives qui réduisent la vulnérabilité et le changement climatique à plus long terme. Une variété de politiques visant à contrer les effets du changement climatique sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, telles qu’un investissement accru dans la recherche et la vulgarisation agricoles étant à jour.
KeFAAS joue un rôle clé dans l’autonomisation de ses membres en développant leurs capacités à offrir des services de vulgarisation pertinents et appropriés aux communautés agricoles. Le Forum a approuvé le Groupe de travail thématique sur CSA et le plaidoyer politique composé de membres issus d’organisations de la société civile, d’organisations privées, d’alliances ou de fédérations d’acteurs de l’espace agricole, de la recherche, du monde universitaire, des partenaires de développement, des projets et programmes en cours. Dans la soumission, le groupe de travail thématique (GTT) créera un cadre pour la diffusion des innovations, des idées, des informations et des connaissances générées par CSA.